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 quand se cacher devient une habitude — lili

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Eleonore M. Freder

Eleonore M. Freder

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MessageSujet: quand se cacher devient une habitude — lili   quand se cacher devient une habitude — lili EmptySam 31 Oct - 20:00

    quand se cacher devient une habitude — lili 1257038799_000f2z28 quand se cacher devient une habitude — lili 1256959154_kf074k

    Les apparences sont donc bien en péril puisqu'il s'agit toujours de les sauver. — Natalie Clifford Barney



Citation :
Hey.
Ça te dirait un rendez-vous aux cuisines ? Comme ça on pourra se retrouver tranquillement sans avoir peur d'être vues. Tiens d'ailleurs, t'as entendu parler de ces rumeurs qui courent sur nous ? Je trouve ça très drôle moi. Mais bon, ça veut également dire qu'on n'a pas été assez discrètes et j'ai peur que nos pères ne le découvrent, car en plus de se voir infliger la correction de notre vie, c'est sûr que là, on ne pourra plus jamais se revoir. Enfin bon, n'imaginons pas le pire des scénarios.
Je t'attendrais donc dans les cuisines ce jeudi-là, à 16 heures 30, histoire d'y prendre le goûter, héhé.
Bisous, et bonne fin de semaine.

Voilà la lettre qu'Eleonore avait envoyé à son amie Lilianne il y a de cela quelques jours. Les deux jeunes filles étaient en effet de très bonnes amies. Malheureusement leurs deux familles étaient ennemies. Et pour cela, leur amitié était donc interdite, d'où le besoin évident de cacher leurs entrevues au monde entier. D'ailleurs si les deux jeunes filles venaient à se croiser dans les couloirs, elles ne s'adressaient pas un seul mot, ni même un seul regard. Aux yeux du monde entier, elles reproduisaient la querelle ancestrale qui opposait leur illustres familles. Certes cela mettait mal à l'aise Eleonore mais elle ne voulait certainement pas provoquer les foudres paternelles, que ce soient les siennes ou celles de son amie. Elles restaient donc dans la prohibition de cette relation. Et puis il fallait avouer que dans un certain sens, cela donnait un côté très amusant, voire même excitant. La petite blonde avait toujours été quelqu'un de très joueur et déjouer la surveillance que toutes les aristocraties faisaient peser sur leurs enfants si précieux, cela avait quelque chose d'exaltant. A chaque fois qu'elles se voyaient, elles devaient faire attention à toutes sortes de choses. Bon, il fallait avouer que cela avait également un côté pesant. Pourquoi n'étaient-elles pas autorisées à voir qui elles voulaient ? Il fallait toujours qu'elles se soumettent aux volontés parentales, sinon c'était un vrai drame. Car il ne fallait surtout pas faire un pas de travers dans ce monde, sinon la honte s'abattait sur vous, et pire, sur toute votre famille. Chose qu'il fallait absolument éviter dans cet univers de faux-semblants.

Heureusement, les deux jeunes filles elles ne se contentaient pas de ça. Elles faisaient leurs propres choix : en tous cas si elles ne le pouvaient pas en ce qui concernait certaines choses, elles choisissaient qui étaient leurs véritables amis. Et pour Eleonore, si cela voulait dire être amie avec une D'Aiglenoir, alors que son cher père aille au diable ! Il faut ajouter en fait que si Eleonore a participé au programme d'échange avec Poudlard, ce n'était pas par simple envie de s'évader. Certes cela a été l'un des grands moteurs dans sa décision de partir de chez elle – et enfin vivre sa propre vie – mais dès qu'elle a appris que Lilianne participait à cet échange, elle avait pris automatiquement sa décision. Tout d'abord car de ce fait elle ne serait pas seule dans une toute nouvelle et mystérieuse école étrangère mais aussi et surtout car elle y voyait le moyen de pouvoir voir son amie au grand jour.

Bon, peut être pas non plus au grand jour, en tous cas pas à Poudlard même car il y avait d'autres français avec elles, mais au moins à l'extérieur. De plus, elles auraient beaucoup moins de chances de se faire voir par un autre français dans ce si grand château. Le jour où son correspondant lui avait fait découvrir le passage menant aux cuisines, elle avait tout de suite pensé que c'était l'endroit idéal pour un rendez-vous avec Lilianne. Il n'y avait quasiment jamais personne qui y venait, de plus, les elfes de maison étaient si adorables... Et puis jamais ils n'iraient parler de vous à qui que ce soit. En partant de son dortoir pour aller à son rendez-vous, elle se demanda soudainement si elle avait dit à Lilianne comment aller jusqu'aux cuisines. Elle se rappela avec soulagement qu'elle lui avait envoyé un petit croquis expliquant comment y accéder. Elle descendit alors moult escaliers, traversa une foule de couloirs, et enfin, elle arriva devant le fameux tableau. Elle avança sa main qui vint chatouiller du bout des doigts la poire qui trônait au milieu de la coupe de fruits. Pendant quelques instants elle se sentit ridicule, et se demanda si c'était bien ça qu'il fallait faire – elle n'y avait été qu'une seule fois au final. Mais la poire se mit alors à rire, et forma une poignée. Un sourire de triomphe s'établit sur les lèvres de la jolie blonde, et elle appuya sur la poignée, ouvrant la grande porte qui menait aux cuisines.




Dernière édition par Eleonore M. Freder le Dim 1 Nov - 17:38, édité 1 fois
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Liliane A. D'Aiglenoir

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MessageSujet: Re: quand se cacher devient une habitude — lili   quand se cacher devient une habitude — lili EmptySam 31 Oct - 22:57


    Liliane flânait dans les couloirs. Ou plutôt, elle faisait semblant. Un indice ? Le morceau de parchemin qu'elle serrait dans sa paume. A l'intérieur, se trouvait un message d'Eléonore, son amie interdite. Pourquoi interdite ? Eh bien, si vous connaissez Roméo et Juliette, c'est à peu près la même chose, sauf qu'il s'agit ici d'une histoire d'amitié et non d'amour, et qu'aucune des deux ne devrait se suicider si leurs parents le découvraient. Mais dans le fond, c’était exactement le même problème. Leurs familles se détestaient depuis des temps immémoriaux pour elle ne savait quelle raison. Et comme cela fait la particularité de l’aristocratie, les noms, les faits et même les demeures traversent les siècles. Appartenir à une famille était d’une importance capitale pour avoir une légitimité au sein du cercle très fermé des aristocrates. C’était valable aussi bien chez les Moldus que chez les sorciers. Si la généalogie a une telle importance, cela suppose que les querelles en aient une aussi. Liliane se souvenait de la première fois qu’elle avait rencontré Eléonore Freder, elle en avait parlé, à sa manière bien sûr, c’est-à-dire avec sa petite tablette, à ses parents. La réponse fut tranchante et définitive. « Tu ne dois plus la revoir. » Quand la petite fille avait demandé des explications, sans trop contester ses parents bien sûr, on lui avait répondu qu’elle comprendrait quand elle serait plus grande. Eh bien, maintenant qu’elle avait presque dix-huit ans, elle ne comprenait toujours pas. On reportait toujours les explications. De toute façon, elle n’avait pas l’intention de laisser une querelle familiale entacher une amitié naissante, malgré tout le respect qu’elle avait pour ses géniteurs. Eléonore avait reçu le même discours de son côté et en était parvenue à la même conclusion. Pour leur bien à toutes les deux, elles avaient décidé de se cacher. Aux yeux des autres, elles perpétuaient la tradition familiale. Ah oui vraiment, avoir le bras très long au niveau des relations socialement haut-placées supposait un certain conformisme à des valeurs parfois démodées.

    Quoiqu’il en soit, Liliane se rendait actuellement vers les cuisines où elle avait rendez-vous avec ladite Eléonore. C’était ce dont il était question dans la missive de la jeune blonde. D’ailleurs, elle y mentionnait également les rumeurs qui circulaient à propos d’elles. Oui, Liliane en avait entendu parler. Remarque, elle commençait à en avoir l’habitude… Depuis la rentrée, on lui prêtait une relation avec Lucy, sa correspondante. C’était amusant, mais il fallait tout de même faire attention à ce que cela ne parvienne pas aux oreilles du manoir Aiglenoir. Ce serait bien la dernière chose dont Liliane avait besoin ! Autrement… Si ses pseudo-relations avec Lucy et Eléonore faisaient fantasmer les élèves de Poudlard, grand bien leur fasse. Mais Eléonore avait raison. Si leurs parents l’apprenaient, cela signerait la fin de leur amitié. Elle ignorait comment ils s’y prendraient, mais elle ne doutait pas qu’ils en fussent capables. Ces gens-là sont capables de tout. Son père était capable de la faire désormais suivre par un elfe de maison qui lui rapporterait ses moindres faits et gestes… Le cauchemar. Si cela arrivait toutefois, elle était sûre qu’elle ferait les pires choses possibles, tout en restant dans les limites parentales. Flirterait. Embrasserait, voire plus. Irait à des soirées, évidemment sans alcool… Même si cela ne lui correspondait, même si ce n’était pas elle. Soudainement inquiète, elle se retourna, mais ne vit que deux élèves de troisième année qui la détaillaient en faisant des commentaires, avant de se rendre compte qu’elle les regardait.

    Elle avait l’habitude que l’on parle d’elle, qu’on s’intéresse à elle, simplement parce qu’elle est née Aiglenoir, fille du Ministre de la Magie en France. Elle aurait préféré qu’on l’apprécie pour ce qu’elle était. Elle aurait préféré qu’on ne prenne pas son excellent niveau scolaire pour un pistonnage ou quoique ce soit d’autre. Ses parents croyaient au mérite, et le lui faisaient clairement comprendre en ce qui concernait ses résultats. Aussi, elle trouvait injuste les insinuations comme quoi elle aurait fait pression sur ses professeurs. A Beauxbâtons, jamais elle n’aurait fait ça. A Poudlard, c’était différent, bien qu’elle ne dispose pas non plus d’un traitement de faveur. Pourquoi ne pourrait-elle pas profiter de son nom pour une fois ? Elle avait déjà montré ses preuves plus d’une fois, et c’était grâce à cela, et uniquement grâce à cela qu’elle réussirait à réaliser ses rêves… On ne choisit pas sa famille, de toute manière. On fait avec.

    Ses longs cheveux bruns et soigneusement coiffés ondoyant dans son dos, la jeune fille était parvenue au rez-de-chaussée. Elle connaissait le passage secret pour accéder aux cuisines, grâce, notamment à Lucy. Liliane chercha la poire sur le tableau et la chatouilla. Tandis que la poignée apparaissait, elle consulta sa montre. Seize heures vingt-neuf. Ponctuelle comme toujours, Liliane ouvrit la porte et entra dans la vaste cuisine de Poudlard. Elle était réellement impressionnante, avec des centaines d’elfes de maison qui s’activaient dans tous les sens. Elle-même avait deux elfes de maison chez elle, un luxe chez les sorciers. Alors, plus d’une centaine… L’un des elfes lui demanda ce qu’elle voulait. Sans un mot – forcément – elle désigna son amie qui l’attendait sur une table un peu plus loin. Le petit être s’inclina et retourna à sa tâche. Avec un grand sourire, Liliane se dirigea vers Eléonore et s’assit à côté d’elle. Sortant sa baguette, elle écrivit dans les airs, comme elle venait tout juste d’apprendre à faire :

    « Tu as passé une bonne semaine ? Sinon, j’ai aussi eu vent des rumeurs sur nous deux… Ce n’est pas la première fois pour ma part, mais t’imagine la tête de mon père s’il l’apprenait ? Déjà que rien que pour une amitié, on risque gros… »

    Ce que Liliane appréciait chez Eléonore, c’était également le fait qu’elles pouvaient se comprendre. Malgré leur rivalité ancestrale, leurs familles avaient les mêmes modes d’éducation, ou presque. En gros, elles étaient vieux-jeu. Tandis que le reste de la société évoluait, celle de l’aristocratie des familles Sang-Pur stagnait. Rien que pour donner une bonne leçon à ses parents, elle pourrait envisager de laisser entendre qu’elle sortait avec une fille. Mais elle avait trop de respect pour eux, et puis, elle ne voudrait pas gâcher la carrière de son père. Beaucoup disent qu’ils n’ont rien contre l’homosexualité mais en fait… Levant à nouveau sa baguette, elle ajouta, n’étant pas sûre que les elfes de Poudlard sachent lire :

    « Tiens, tu pourrais demander une pomme verte et une part du gâteau au chocolat de ce midi pour moi, s’il te plaît ? »
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Eleonore M. Freder

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MessageSujet: Re: quand se cacher devient une habitude — lili   quand se cacher devient une habitude — lili EmptyLun 2 Nov - 23:03



Lorsqu'elle avait ouvert la porte, les odeurs de cuisines s'étaient aussitôt infiltrées dans les narines de la jeune fille. Les elfes cuisinaient déjà pour le repas du soir : certain coupaient les légumes et les viandes, d'autres faisaient mijoter des ingrédients dans d'énormes marmites cabossées et d'autres encore s'occupaient de la confection de magnifiques gâteaux qui seraient certainement engloutis quelques heures plus tard. Pour la gourmande qu'était Eleonore, ces odeurs étaient tout simplement divines.

Et elle était en train d'humer l'air avec délice lorsque cinq elfes s'étaient approchés d'elle. C'était la première fois qu'elle en voyait. Enfin la première fois qu'elle en voyait d'aussi près. Chez elle, et dans sa famille, les sorciers se refusaient à user des services de ces créatures. Non qu'ils jugeaient leur sort d'esclave horrible – à vrai dire ils n'en n'avaient strictement rien à faire : pourquoi se préoccuper de ces créatures ? Ils avaient bien d'autres choses à s'occuper en ce qui concernait leurs propres affaires. Mais pour eux ils étaient plus convenable qu'un sorcier digne de ce nom n'aie pas à avoir recours et encore moins à ses reposer sur de telles créatures. Chez eux, ils avaient des majordomes, des bonnes, des cuisinières, des jardiniers, etc. Ça leur coûtait évidemment une fortune comparé à ceux qui possédaient des elfes, mais c'était ainsi également un autre moyen de montrer à tout le monde ô combien ils étaient riches.

Les elfes étaient d'étranges et très rigolotes créatures qui regardaient les humains avec des airs ébahis : comme s'ils étaient éblouis par eux. Tout de suite, Eleonore les avait beaucoup apprécié, et avait même ressentit de la tendresse pour ces petits elfes crasseux et si désireux de plaire aux sorciers. Elle qui aimait tant se sentir aimée voire adorée. Ils l'avaient aussitôt entourée et bombardée de questions et formes de politesse : « bonjour mademoiselle » « que désirez-vous mademoiselle ? » « voulez-vous vous asseoir mademoiselle ? ». Mais ils avaient parlé tellement rapidement, et tous en même temps et la petite blonde n'avait pas compris grand chose. Elle avait juste saisi le sens de la phrase dans laquelle elle supposait qu'on lui avait proposé de s'asseoir, et avait répondu d'un signe de tête affirmatif à l'elfe qui lui avait posé la question. Il s'était alors penché en avant, tellement bas que son nez aurait pu toucher le sol en carrelage beige, et lui avait demandé de le suivre, ce qu'elle s'était empressée de faire. Il l'avait ainsi menée jusqu'à une table vide et elle s'était assise. C'est à ce moment qu'elle lui avait demandé si ils avaient du thé à la menthe. L'elfe lui avait répondu un simple « tout de suite » et avait disparu derrière ses congénères qui étaient retournés à leur cuisine. Évidemment elle ne savait pas qu'ils n'avaient pas vraiment déjà de chocolat chaud, mais qu'ils allaient s'empresser de lui en faire un. A peine quelques minutes plus tard, l'elfe était revenu avec une grande théière et une tasse qu'il avait déposé sous le nez d'Eleonore.

C'est au moment où la petite blonde baissait les yeux sur la magnifique théière rouge typiquement anglaise que le bruit de la grande et lourde porte de la cuisine se fit entendre à nouveau. Elle releva la tête, et son regard se posa sur Liliane. Un sourire se dessina sur ses lèvres et son amie vint la rejoindre à table. Les elfes n'avaient pas même eu le temps de lui poser des questions qu'elle avait désigné d'un geste de la tête sa camarade de Beauxbâtons. Cependant, trois elfes l'avaient suivi jusqu'à la table. Aussitôt qu'elle s'assit en face d'elle, la belle brune sortit sa baguette de sa poche pour ensuite faire de gracieux mouvements du poignet qui firent apparaître de jolies lettres rondes dans les airs qui étaient adressées à Eleonore. Elle les lu avec un sourire aux lèvres.

— C'est génial ce sort ! Pourquoi tu l'utilisais pas avant ? Enfin, en ce qui concerne cette rumeur, je pense pas qu'on ai à s'inquiéter. Au pire, il suffit qu'on se trouve un joli anglais pour faire oublier ça à tout l'monde !

Finit-elle en rigolant. Évidemment, elle ne prenait pas ce qu'elle venait de dire au sérieux, mais en y réfléchissant plus sérieusement, s'il s'avérait que la situation empire, cela pouvait être une solution à envisager, car alors plus aucun doute ne planerait sur leur orientation sexuelle. Ce n'était pas tant qu'elle avait honte du fait d'être également attirée par les filles – mais elle n'avait jamais dépassé le stade du simple bisou à une fête alcoolisée – c'était surtout, comme elles l'avaient mentionné plus tôt, pour ne pas subir les foudres familiales, et surtout paternelles. Lilane fit apparaître de nouveaux mots dans les airs. Eleonore les lu, et se tourna aussitôt vers les elfes pour leur demander une part de gâteau au chocolat ainsi qu'une pomme verte. Ils disparurent comme précédemment, et le même elfe qui lui avait apporté la théière arriva avec la part le fruit, ainsi qu'une deuxième tasse. Eleonore le remercia, puis se versa une tasse de thé. Elle releva alors la tête vers son amie pour lui demander :

— Tu veux du thé à la menthe ?

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